Quand l’Etat se met à bloger.

En voilà une bonne initiative. Afin de mener un débat PUBLIQUE, certains membres de l’Etat ont décidé de porter un sujet d’actualité à débatttre sur la toile Internet. Il s’agit du prélèvement des impôts à la source. Pour cela, 3 personnages du monde économique et électronique ont crées un blog intitulé www.laretenuealasource.fr dans lequel tous les français peuvent s’exprimer sur ce sujet. Il est divisé en 5 thèmes:

  1. Les revenus concernés
  2. Quel taux d’imposition ?
  3. La confidentialité des données personnelles
  4. Les adaptations nécessaires pour les employeurs
  5. La gestion de la transition

Alors vous qui etes sur mon blog, si vous avez envie que votre voix soit entendue au somment de l’Etat sur ce sujet, n’hésitez pas à aller y faire un tour !!!

Ecrit par William le 27 janvier, 2007 | Pas de commentaires »

Semaine de desintégration

Afin de marquer le coup de la fin des études, certains élèves de l’EPMI ont voulut organiser une semaine à Djerba. 380€ la semaine tout compris. Un peu cher et pas évident en cette période de recherche de stage pour certains, de déménagement pour d’autres ou encore de début de stage.
Un autre groupe d’EPMIstes à donc décider d’organiser une petite semaine de désintégration avec des activités locales. Voici notre planning:

  • Lundi: Laser Quest
  • Nous sommes allés au Laser Quest d’Herblay. 2 parties de 20 minutes de courses intensives dans des labyrinthes plongés dans le noir.

  • Mardi et mercredi: LAN
  • Depuis le temps qu’on en parlait! On voulait se faire une LAN (comprenez jeux en réseau). Nous nous sommes donc réunit à une dizaine dans une résidence universitaire et nous avons joué à différents jeux (w3, CS, C&C, TM…).

  • Jeudi: Paintball et Karting
  • Nous sommes allés à une vingtaine au paint-ball de Boissy l’Ailerie en intérieur. Dans un entrepôt réaménagé, nous avons enfilé une combinaison et un masque afin de pouvoir nous échangé quelques balles de peinture.

    Sur Cergy-Pontoise, nous avons la chance d’avoir assez proche, à Cormeilles en Vexin, un club de karting. 2 pistes sont disponibles (900 et 1200 m) à parcourir sur des karts 2 ou 4 temps. Cette fois je n’y suis pas allé. Un peu froid en cette période !!!

  • Vendredi: bowling
  • Enfin, pour finir cette semaine, un bowling à Cergy. J’ai d’ailleurs fais le meilleur score sur les 2 parties qu’on a faites: 142.

Pour conclure tous ensemble ces 5 années d’études, les BDE de l’EPMI, l’ISTOM, l’EPSS et la fédé IPSL organisent une soirée destinée à tous les dernières années.
Alors rendez-vous le 1 février au Paradise !!!

Ecrit par William le 25 janvier, 2007 | 1 Commentaire »

Pas de stage à Londres :(

Pour mon stage de fin d’étude, je souhaitais le faire dans un pays anglophone et plus particulièrement du côté de Londres. Très facile d’accès grâce à l’Eurostar, ville en pleine croissance économique, et je dois l’avouer, j’ai de la famille là-bas.
Je me suis donc mis à poster mon CV sur des sites d’emploi (monster, jobserve, jobsite, careers.computing, totaljobs…) et à répondre à des annonces à partir de fin novembre.
Verdict: très très peu de réponses, et aucune positive !!! Aie aie aie…

J’ai essayé de comprendre pourquoi et voilà ce que j’en ai ressortis:

  • ASAP
  • Très souvent, les offres proposées incluait une disponibilité ASAP (As soon as possible), comprenez « dès que possible ». Le marché du travail en Angleterre est beaucoup plus flexible qu’en France donc il est commun de changer assez souvent de travail. L’embauche se fait donc dans des délais très courts. J’ai cherché entre novembre et janvier, cela fait peut être trop tôt. Il aura fallut que je concentre mes recherches à partir de la mi-janvier. Pourquoi je ne l’ai pas fais: dans l’hypothèse ou je ne trouve rien (ce qui m’est arrivé), le processus de recrutement en France est plus long. J’aurai eu du mal à me rabattre sur la France.

  • Il faut être sur place
  • Sûrement aussi le fait que je sois en France au moment de mes recherches rebute les recruteurs. Ils doivent déjà penser à la difficulté d’organiser un entretien. Il est bien plus préférable de passer 1 ou 2 semaines sur place et de décrocher un maximum de rendez vous.

  • Le concept de stage est assez peu répandu
  • Il est vrai que j’ai trouvé très peu d’annonces pour des stagiaires. Un peu plus pour les diplômés (graduate), et encore plus pour les personnes avec expérience !

  • Peut être une candidature mal conçue pour ce pays
  • Afin de répondre au mieux aux conventions du travail dans ce pays, j’ai fait corriger mon CV par mon professeur d’anglais de l’EPMI, mais aussi sur un forum (destinationlondres), par des français travaillant à Londres et donc connaissant les spécificités d’un CV et d’une lettre de motivation en anglais. Malheureusement je ne peux pas en être sûr n’ayant pas eu de contact direct avec des recruteurs.

Toutefois je considère ça comme une expérience positive. J’ai pu analyser et prendre du recul pour avoir un maximum de chance sur une future candidature à l’étranger.

Ecrit par William le 24 janvier, 2007 | Pas de commentaires »

RT devient RTI

L’option RT (Réseaux et Télécommunications) de l’EPMI devient option RTI (Réseaux de Télécommunication et d’Information).
Ce nouveau nom inclut donc le terme d’information très largement abordé.
Tout d’abord, la théorie de l’information est enseignée dès la 2ème année ingénieur et permet de comprendre cette notion.
Ensuite, on comprend aisément que chaque données qui circule dans les réseaux (téléphoniques ou informatiques) constituent de l’information.

Ecrit par William le 23 janvier, 2007 | Pas de commentaires »

L’essentiel: Choisir le bon câblage

On oublie souvent que la base d’un bon réseau filaire est constituée de simples câbles. Il faut savoir qu’un mauvais câble peut être fédérateur d’un mauvais fonctionnement du réseau. Je vais ici résumer les paramètres à prendre en compte pour choisir le bon câble.

Tout d’abord, il faut savoir que les types de câbles sont normalisés. On distingue ainsi les Catégories (2 à 7) définies par EIA/TIA qui est d’origine américaine et les Classes (B à F) définies par la normalisation ISO (International Standard Organisation).
Les Catégories ne s’appliquent que sur un composant (câble, prise…) alors que les Classes s’appliquent sur la liaison de bout en bout.
Ensuite, on définit un type de câble. Il s’agit là d’une donnée physique sur la conception du câble. Nous avons:

  • UTP: Unshielded Twisted Pair (Pairs torsadée non blindée)
  • Très utilisée aux États-unis. Câble uniquement composé des fils de cuivre entourés d’une gaine plastique.

  • STP: Shielded Twisted Pair (Paire tosadée Blindée)
  • Très utilisé en allemagne. Il est de meilleure qualité que le UTP, il utilise une gaine de cuivre. Il offre une meilleure protection contre les interférences.

  • FTP: Foiled Twisted Pair (Paire Torsadée avec écran)
  • Utilisé en France. Une feuille d’aluminium est glissée tout au long du câble et permet ainsi de limiter les parasites.

    Il est également possible de combiner le STP et FTP.

Voici un exemple des catégories pour du câble UTP:

  • Catégorie 1 : Câble téléphonique traditionnel (transfert de voix mais pas de données)
  • Catégorie 2 : Transmission des données à 4 Mbit/s maximum (RNIS).
  • Catégorie 3 : 10 Mbit/s maximum. Bande passante: >16 MHz.
  • Catégorie 4 : 16 Mbit/s maximum. Bande passante: >20 MHz.
  • Catégorie 5 : 100 Mbit/s maximum. Bande passante: >100 MHz.
  • Catégorie 5e : 100/1000 Mbit/s maximum. Bande passante: >100 MHz.
  • Catégorie 6 : 10 Gbit/s maximum. Bande passante: >250 MHz.
  • Catégorie 6a : 10 Gbit/s maximum. Bande passante: >250 MHz.
  • Catégorie 7 : Bande passante: >600 MHz. Constitué de 4 paires blindés (STP) dans un blindage total.

Une fois ces principes de bases compris, voyons quelques paramètres à prendre en compte pour choisir le bon câble.

  1. L’atténuation
  2. Cette donnée permet essentiellement de définir la distance maximale entre 2 répéteurs ou appareils. L’unité est en décibels (dB).

  3. La bande passante
  4. Cette donnée caractérise la gamme de fréquence supportée suivant l’atténuation. On peut lui associer les problèmes d’interférence. L’unité est en Hertz (Hz)

  5. L’impédance
  6. L’impédance indique le comportement du câble face à un courant alternatif. L’unité est en Ohms.

  7. La Paradiaphonie
  8. Enfin, la paradiaphonie représente de rapport signal sur bruit. Plus cette valeur est élevée, meilleure est la qualité du câble. L’unité est en décibels (dB).

Ecrit par William le 23 janvier, 2007 | Pas de commentaires »

Sécuriser facilement son réseau Wifi: le WPS

Le WPS (Wifi Protected Setup) a été définit par la Wifi Alliance. La Wifi Alliance est une association internationale de plus de 300 membres qui comprend 10 laboratoires de test indépendants dans 6 pays. Elle délivre des certifications dans les technologies WLAN (Wireless Local Area Network).
Dans cet optique, le WPS définira une certification sur des matériels Wifi qui facilitent la mise en place des sécurités sur les réseaux sans fil. 2 méthodes vont exister: un bouton de configuration ou un code numérique (type code PIN) suffirons à sécuriser son réseau utilisant du matériel certifié WPS.
La première méthode, par code numérique, il suffira de saisir ce code sur la machine présente dans son réseau sans fil pour que tous les paramètres soient automatiquement configurés sur la nouvelle machine.
La 2ème méthode, un bouton poussoir, permettra à l’utilisateur par simple pression sur le bouton de la nouvelle machine et sur le point d’accès (souvent matérialisé par nos « box »), de paramétrer automatiquement l’accès au réseau. Cette méthode doit cependant utiliser du matériel qui dispose déjà de ce fameux bouton..
Enfin, il faut savoir que pour obtenir la certification, les méthodes de sécurisation devront utiliser les clé WPA (Wifi Protected Access) ou WPA2 qui sont cryptées sur 128 bits et non uniquement le WEP (Wired Equivalent Privacy) crypté sur 64 bits et devenu obsolète pour la sécurité des réseaux sans fil.

Ci dessous une vidéo tirée du site de la Wifi Alliance pour présenter cette certification:

Ecrit par William le 14 janvier, 2007 | Pas de commentaires »

L’essentiel: Les WAN (Wide Area Network)

Pour définir assez simplement les WAN, on peut les caractériser par des réseaux grande distance. Ils couvrent une large étendue géographique et utilisent les infrastructures déjà existantes, celles des télécommunications. Ils relient ainsi les LAN (Local Area Network) des entreprises et des particuliers. On appel le plus grand WAN: Internet.
Mais parmi les WAN, il y a plusieurs technologies qui diffèrent par leur fonctionnement, débit, mode de connexion…
Tout d’abord, il faut savoir que les réseaux WAN n’agissent pas sur la même couche OSI.

  1. Couche physique
    • Liaison permanente

    3 technologies sont considérées en liaison permanente sur la couche physique:

    WDM (Wavelength Division Multiplexing)

    Cette technologie utilise le principe de multiplexage fréquentiel.

    SDH (Synchronous Digital Hierarchy)

    Cette technologie permet d’atteindre un débit de 2,5 Mbits /s sur la boucle optique qui comprend 16 liens de 155 Mbits /s.

    – TDM (Time Division Multiplexing)

    Il s’agit d’une est une technique de multiplexage permettant à un émetteur de transmettre plusieurs canaux numériques élémentaires à bas débit (voix, données, vidéo) sur un même support de communication à plus haut débit en entrelaçant dans le temps des échantillons de chacun de ces canaux.

    • Liaison commutée

    La liaison commutée est établie sur demande uniquement et est exclusive jusqu’à la libération des utilisateurs.
    On trouve ainsi la technologie ISDN (Integrated Service Digital Network) ou RNIS (Réseau Numérique à Intégration de Service) qui correspond à la numérisation du réseau téléphonique. Il utilise donc l’infrastructure du téléphone. Il permet de constituer des débits de 64 ou 128 kbits /s, par multiplexage de plusieurs canaux à 64 kbits /s définit par la norme G 704, on constitue un signal à 2 Mbits /s sur les interfaces entre commutateurs.

  2. Couche liaison
    • Mode connecté

    Le mode connecté peut être assimilé à une communication téléphonique. L’utilisateur doit établir une connexion avant de pouvoir transmettre et cette connexion est coupée à la fin de la transmission.

    ATM (Asynchronous Transfert Mode)

    Cette technologie permet de transférer simultanément des données et de la voix sur une même ligne. Elle permet d’atteindre des débits allant de 25 à plus de 600 Mbits /s voir 2 Gbits /s sur fibre optique.

    Frame Relay (Relais de trames)

    Il s’agit d’un mode de connexion basé sur la commutation de paquets. Il s’agit du successeur de X25.

    • Mode non connecté

    Le mode non connecté est quant à lui assimilé au courrier postal. L’utilisateur envoi ses données par paquets indépendants les uns des autres. En théorie ils arrivent dans l’ordre d’envoi mais du fait qu’ils n’empruntent pas forcément les mêmes routes, ils peuvent très bien arriver dans le désordre. Le mode non connecté sur la couche liaison est la technologie Ethernet.

  3. Couche réseau
  • Mode connecté

X 25 constitue la technologie en mode connecté sur la couche réseau.

  • Mode non connecté

Il s’agit de la technologie IP qui est encapsulé par l’Ethernet qui fonctionne en mode non connecté.

  • Mode mixte

Le MPLS pour Multi-Protocol Label Switching constitue l’avenir des réseaux. Il utilise à la fois des interfaces IP traditionnelles et des interfaces connectées au réseau central (ou backbone) MPSL.

Ecrit par William le 14 janvier, 2007 | Pas de commentaires »

L’essentiel: Les technologies filaires d’accès haut débit

Voici les principales technologies filaires d’accès au haut débit:

  • Réseau câble cuivre

La distribution par réseau câblé en cuivre est initialement prévue pour la télévision analogique et numérique. Aujourd’hui, les opérateurs proposent des bouquets incluant accès Internet et télévision.
Les flux possibles sont de l’ordre de 2 Mbits /s en vois descendante (fournisseur vers utilisateur) et 512 kbits /s en sens montant. Le principal inconvénient est de savoir si votre quartier est relié au câble et si oui, avec quel opérateur. Un moteur de recherche réalisé par l’AFORM vous aide dans cette requête.

  • L’ADSL

L’ADSL (Asymetric Digital Subscriber Line) est une technologie qui permet d’utiliser les lignes téléphoniques classiques (paire cuivrées) pour y faire transiter simultanément de la voie téléphonique et un signal numérique. L’ADSL est aujourd’hui très répandue et s’associe à des « packs tout compris »: Internet, télévision, téléphone; à des prix dérisoires.

  • Fibre optique

C’est aujourd’hui la meilleure technologie en terme de bande passante et qualité de service. On distingue des réseaux tout fibre (encore très rare car très cher à déployer) et des réseaux hybrides qui relient la fibre optique aux utilisateurs par un câble coaxial ou un paire de cuivre téléphonique par la technologie ADSL (Asymetric Digital Subscriver Loop).

  • Réseau électrique

Une autre voie est développée et peu se montrer très intéressante. Il s’agit d’utiliser le réseau électrique existant. Cependant cette technologie n’est pas encore prête à être proposée. Tout d’abord elle semble bien moins performante que l’ADSL qui s’étend déjà dans la plupart des foyers. Des infrastructures et matériels coûteux sont également à mettre en place. Cependant des entreprises comme EDF ont tout intérêt à vouloir développer cette technologie.

Ecrit par William le 14 janvier, 2007 | Pas de commentaires »

Comprendre les réseaux pour les technophobes

Voilà une vidéo qui explique très grossièrement le fonctionnement des réseaux. Il s’agit d’un petit film d’animation. A mettre entre les mains des technophobes qui veulent comprendre quelques notions.

Ecrit par William le 13 janvier, 2007 | Pas de commentaires »

Pourquoi le secteur des télécoms va encore monter

Voici quelques raisons en faveur d’une croissance du secteur des télécommunications.

  • Des innovations constantes

Wifi, WiMax, UMTS, TNT, Voix sur IP, fibre optique…autant de mots nouveaux qui ne cessent de devenir connus du grand public et qui cachent des nouvelles technologies de la communication. Autrefois, l’innovation était poussée par les armées, aujourd’hui, c’est la société de consommation qui entraine des industriel à toujours innover.

  • Des métiers qui bougent

La convergence des réseaux et des télécommunications…vous connaissez ? Ce concept a tout simplement créer de nouveaux métiers. Les professionnels de la téléphonie se penchent sur le secteur des réseaux informatiques (Exemple: SDH, société détenue par SFR et Neuf cegetel qui va déployer un réseau WiMAX) et les professionnels des réseaux intégrent des solutions de téléphonie à leur matériel (Exemple: La Voix sur IP).

  • Une société de consommantion qui demande du service

Le secteur des services en général est très porteur. Cette formule s’applique très bien aux télécoms. Parralèlement aux innovations matérielles citées plus haut, l’intégration de nouveaux services est également en constante innovation. Aujourd’hui, un téléphone portable…n’est plus un téléphone portable…mais un terminal qui permet de prendre des photos, des vidéos, faire de la visio conférence, écouter de la musique et accessoirement…téléphoner !!!

  • Les investisseurs affluent

Un articles récent du site boursier.com rapport que la deutshe Bank estime qu’en Europe, l’attitude des dirigeants d’entreprises du secteur télécom est redevenue plus agressive sur la gestion des coûts et l’efficacité du capital, ce qui devrait porter ses fruits en 2007. Une banque d’investissement americaine juge ce secteur attractif et table sur un rendement supérieur de 1,4 % à celui du marché.

Si vous avez d’autres raisons de penser que ce secteur va monter (ou baisser), mettez vos commentaires !!!

Ecrit par William le 13 janvier, 2007 | Pas de commentaires »